Après Paris, ces Libyens qui se sentent délaissés par les politiques
"Les réunions de ces politiciens, c'est comme un disque rayé", lâche Abdelhakim al-Saadi.A Tripoli comme à Benghazi, dans l'est de la Libye, les engagements pris mardi à Paris par les responsables des camps rivaux libyens suscitent lassitude et amertume.
30 mai 2018 à 18h42 par AFP