La libre antenne du vendredi

Problème de visas

Amadou & Mariam font découvrir leur nouveau titre "Mogolu" en taxi

Retrait de la CEDEAO : Les défis pour l'Alliance des États du Sahel et la CEDEAO

Suspension des activités des partis au Mali : "Les libertés ont été réduites"

Mali : Le colonel Alpha Yaya Sangaré arrêté après la sortie de son livre

Cedeao : Levée de sanctions contre la Guinée et le Mali

Sahel/monnaie unique : " la sortie du Franc CFA est un passage obligé" 

Mali: un millier de manifestants à Bamako pour réclamer le départ des troupes étrangères

Un millier de Maliens ont manifesté vendredi à Bamako pour réclamer le départ des troupes étrangères, en particulier de la force française Barkhane, à trois jours d'un sommet en France destiné à "clarifier" les rôles dans la lutte contre le jihadisme au Sahel.

<p>Au nombre de 900, selon la police, et de "plusieurs milliers", selon les organisateurs, les manifestants se sont rassembl&eacute;s sur la place de l'Ind&eacute;pendance, dans le centre de la capitale, &agrave; l'appel d'organisations de la soci&eacute;t&eacute; civile et de partis politiques."Le gouvernement fran&ccedil;ais est un frein &agrave; notre d&eacute;veloppement", pouvait-on lire sur une pancarte brandie par un manifestant. "A bas la France, Barkhane doit quitter", "La France dehors, Barkhane dehors, les FAMa (Forces arm&eacute;es maliennes) peuvent s&eacute;curiser le Mali", indiquaient des banderoles.Des manifestants ont br&ucirc;l&eacute; un drapeau fran&ccedil;ais, a rapport&eacute; un correspondant de l'AFP.Malgr&eacute; la pr&eacute;sence de forces fran&ccedil;aises (4.500 soldats de Barkhane), de l'ONU (Minusma au Mali, 13.000 hommes), de la Force conjointe du G5 Sahel et de forces am&eacute;ricaines, les pays sah&eacute;liens subissent des attaques jihadistes de plus en plus fr&eacute;quentes et meurtri&egrave;res, depuis les premi&egrave;res violences dans le nord du Mali en 2012.La France a convi&eacute; les pr&eacute;sidents des cinq Etats sah&eacute;liens (Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger et Tchad) &agrave; un sommet le 13 janvier &agrave; Pau (sud-ouest) pour "red&eacute;finir plus clairement les objectifs militaires, politiques et de d&eacute;veloppement" de la lutte commune contre les groupes jihadistes, selon le pr&eacute;sident Emmanuel Macron, qui estime ambigu&euml; l'attitude des pr&eacute;sidents burkinab&egrave; et malien au sujet de la pr&eacute;sence des soldats fran&ccedil;ais, critiqu&eacute;e par une partie de l'opinion publique de ces deux pays.Des d&eacute;put&eacute;s du Rassemblement pour le Mali (RPM), le parti du pr&eacute;sident malien Ibrahim Boubacar Ke&iuml;ta, ont pris part vendredi &agrave; la manifestation de Bamako, selon des correspondants de l'AFP, alors que le chef de l'Etat a r&eacute;p&eacute;t&eacute; ces derniers jours qu'il ne fallait "pas se tromper d'ennemi"."Les Forces &eacute;trang&egrave;res pr&eacute;sentes dans notre pays sont nos alli&eacute;s dans cette guerre tragique qui nous est impos&eacute;e. Nous ne gagnerons pas cette guerre en nous trompant d'ennemi et en faisant le jeu des hordes terroristes", a d&eacute;clar&eacute; M. Ke&iuml;ta.Dans son traditionnel discours t&eacute;l&eacute;vis&eacute; du 31 d&eacute;cembre, il s'&eacute;tait dit "convaincu" que les Maliens &eacute;prouvaient majoritairement un "sentiment de gratitude" envers les pays alli&eacute;s. "Cela ne saurait &ecirc;tre confondu avec une minorit&eacute; d'activistes, de francs-tireurs ou de forces centrifuges qui cherchent &agrave; faire feu de tout bois, y compris le jeu des terroristes".Il avait &eacute;galement qualifi&eacute; de "d&eacute;cisive" la rencontre de Pau car elle "permettra de mettre sur la table toutes les questions, tous les griefs, toutes les solutions". L'annonce de ce sommet avait &eacute;t&eacute; mal ressentie par beaucoup dans la r&eacute;gion, qui l'avaient per&ccedil;ue plut&ocirc;t comme une "convocation".</p>

Mali: un millier de manifestants à Bamako pour réclamer le départ des troupes étrangères

Un millier de Maliens ont manifesté vendredi à Bamako pour réclamer le départ des troupes étrangères, en particulier de la force française Barkhane, à trois jours d'un sommet en France destiné à "clarifier" les rôles dans la lutte contre le jihadisme au Sahel.

Podcast

La libre antenne du vendredi

Problème de visas

A lire aussi

Amadou & Mariam font découvrir leur nouveau titre "Mogolu" en taxi

Retrait de la CEDEAO : Les défis pour l'Alliance des États du Sahel...

Suspension des activités des partis au Mali : "Les libertés ont été...

Mali : Le colonel Alpha Yaya Sangaré arrêté après la sortie de son...

Cedeao : Levée de sanctions contre la Guinée et le Mali

Sahel/monnaie unique : " la sortie du Franc CFA est un passage...