Rentrer chez soi ou rester en sécurité: au Nigeria, l'impossible choix des déplacés de Boko Haram

"Boko Haram était dans ma maison!", raconte la petite Aisha, trois ans, en fronçant les sourcils.Elle est assise sur une natte aux côtés de sa mère, dans un camp insalubre de Maiduguri, la grande ville du nord-est du Nigeria.

13 avril 2021 à 7h15 par AFP