Au procès du bombardement de Bouaké, l'ex chef du renseignement français sur la réserve
En novembre 2004, les services de renseignement français n'avaient ni les moyens ni les instructions pour contribuer à éclaircir les conditions du bombardement qui a tué neuf soldats français en Côte d'Ivoire, a affirmé mercredi leur patron de l'époque devant la cour d'assises de Paris.
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7 avril 2021 à 18h57 par AFP