Après avoir interdit aux médias de donner la parole aux partis suspendus ou dissous durant la campagne pour le référendum du 21 septembre, la Haute autorité de la communication est revenue sur sa décision, lundi 1er septembre. Une décision saluée par le journaliste Sékou Jamal Pendessa, qui s'inquiète cependant de l'état de la liberté de la presse en Guinée. Il était l'invité d'Africa radio ce vendredi 5 septembre.