L’histoire pourrait se répéter au Soudan du Sud qui a déjà été le théâtre d’une guerre civile de 2013 à 2018, qui a causé la mort de 400 000 personnes. La raison : l’inculpation du premier vice-président déchu Riek Machar. Ce dernier est accusé avec sept autres personnes d’avoir coordonné une attaque contre une base militaire au mois de mars. Pour les partisans de Riek Machar, son inculpation est avant tout politique. Ils ont appelé à la mobilisation militaire pour protester contre le président Salva Kiir. Emmanuelle Veuillet, post-doctorante à l'EHESS et à l'IMAF était l'invitée d'Africa Radio ce mercredi 17 septembre.