"Rester à Djibo et mourir",le calvaire des déplacés du jihadisme au Burkina
"On n'a plus rien mais mieux vaut être vivant ici que de rester à Djibo et mourir".Belem Boureima, agriculteur septuagénaire, a dû quitter son village avec sa famille de 43 personnes, comme 300.000 déplacés qui ont fui les violences jihadistes dans le nord et l'est du Burkina Faso.
20 septembre 2019 à 14h49 par AFP