Olivier Kissita, acteur et réalisateur nous présente le film " Nouvelle Vie ".

Afrique : les routes sont elles sûres sur le continent africain ?

Culture : “La rupture entre le Mali et la France est consommée”, réagit le réalisateur Alioune Ifra Ndiaye

Jeux Paralympiques de Paris : Nantenin Keita éliminée à l'épreuve du 100 m 

Au Mali, une collision entre un car et un camion fait plusieurs morts 

Appel à des sanctions contre l’Ukraine au Sahel : “Le conflit russo-ukrainien s’est déplacé en Afrique” selon Aly Tounkara 

4 ans de pouvoir des militaires au Mali : “Le quotidien des Maliens ne s’est pas amélioré” selon Sidy Lamine Bagayoko 

En visite au Mali, le Premier ministre du Sénégal Ousmane Sonko plaide pour un rapprochement des deux pays 

A Bamako, la ministre française des Armées réaffirme le soutien aux forces maliennes

La ministre des Armées, Florence Parly, a réitéré lundi à Bamako le soutien de la France aux forces maliennes dans le combat contre les jihadistes, lors de sa première rencontre avec les autorités de transition.

"J'ai r&eacute;affirm&eacute; notre engagement &agrave; appuyer la mont&eacute;e en puissance des forces arm&eacute;es maliennes.La France avec ses partenaires internationaux poursuivra son aide et ses activit&eacute;s de conseil", a dit Mme Parly &agrave; l'occasion d'entretiens avec son homologue malien, le colonel Sadio Camara.
Mme Parly a cependant ajout&eacute; que la lutte contre les jihadistes "ne peut &ecirc;tre men&eacute;e efficacement que dans le respect de tous les droits, y compris les droits de l'Homme", r&eacute;f&eacute;rence aux accusations port&eacute;es de mani&egrave;re r&eacute;p&eacute;t&eacute;e contre les forces maliennes et sah&eacute;liennes qui se rendraient coupables d'exactions contre les populations civiles au nom de l'engagement antiterroriste.
Mme Parly effectuait sa premi&egrave;re visite aupr&egrave;s des autorit&eacute;s que les militaires ont mises en place apr&egrave;s leur coup d'Etat du 18 ao&ucirc;t et sur lesquelles ils conservent une forte emprise.Ces autorit&eacute;s se sont engag&eacute;es &agrave; c&eacute;der la place &agrave; des civils &eacute;lus au bout de 18 mois.
La semaine pass&eacute;e, c'&eacute;tait le chef de la diplomatie fran&ccedil;aise Jean-Yves Le Drian qui avait effectu&eacute; le d&eacute;placement.
"L'objectif est de s'assurer de la d&eacute;termination des autorit&eacute;s &agrave; poursuivre l'engagement des forces arm&eacute;es maliennes dans les diff&eacute;rentes op&eacute;rations que nous menons ensemble", a d&eacute;clar&eacute; Mme Parly &agrave; l'AFP avant de se poser &agrave; Bamako.
"Cette d&eacute;termination ne s'est pas d&eacute;mentie depuis le (coup d'Etat du) 18 ao&ucirc;t mais il est important d'avoir un &eacute;change avec les autorit&eacute;s pour s'assurer que cette intention va bien s'inscrire dans le plus long terme, car nous devons planifier de nouvelles op&eacute;rations", a dit la ministre, qui s'&eacute;tait auparavant rendue au Niger.Elle y a rencontr&eacute; son homologue Issoufou Katamb&eacute; ainsi que le pr&eacute;sident Mahamadou Issoufou.
La France a&nbsp;r&eacute;it&eacute;r&eacute; apr&egrave;s le 18 ao&ucirc;t sa d&eacute;termination &agrave; poursuivre le combat antijihadiste au Sahel o&ugrave; elle d&eacute;ploie quelque 5.100 soldats au sein de l'op&eacute;ration Barkhane.
"Notre partenariat de combat s'amplifie et produit des effets (...).Nous progressons: la coordination avec Barkhane, avec la force conjointe du G5 Sahel et les arm&eacute;es nationales atteint un niveau jamais atteint pr&eacute;c&eacute;demment", a-t-elle dit en pr&eacute;sence de son homologue malien.
Celui-ci s'est d&eacute;clar&eacute; "satisfait" du soutien manifest&eacute; par la France.
Mme Parly a ensuite &eacute;t&eacute; re&ccedil;ue par le colonel Assimi Go&iuml;ta qui, &agrave; la t&ecirc;te de la junte dans les semaines ayant suivi le putsch, garde un poste cl&eacute; avec la vice-pr&eacute;sidence dans la transition.Elle devait s'entretenir plus tard avec Le pr&eacute;sident de transition, Bah Ndaw.
Malgr&eacute; la pr&eacute;sence des forces fran&ccedil;aise et onusienne, les violences jihadistes continuent dans le nord et le centre du Mali et se sont &eacute;tendues aux pays voisins.Elles se doublent de violences intercommunautaires.
Les nouveaux ma&icirc;tres de Bamako ont affirm&eacute; leur volont&eacute; de combattre les jihadistes et d'honorer les engagements pris avec les partenaires du Mali, dont la France.
La r&eacute;cente lib&eacute;ration de quatre otages, la Fran&ccedil;aise Sophie P&eacute;tronin, deux Italiens et une haute personnalit&eacute; politique malienne, en &eacute;change de 200 d&eacute;tenus r&eacute;clam&eacute;s par les jihadistes, a toutefois relanc&eacute; les sp&eacute;culations sur l'ouverture d'un dialogue avec les groupes radicaux.
"On ne peut pas dialoguer avec les groupes jihadistes qui n'ont pas renonc&eacute; au combat terroriste", a dit Mme Parly &agrave; l'AFP."C'est de la responsabilit&eacute; des autorit&eacute;s maliennes, pas la n&ocirc;tre, mais il est important d'&eacute;changer", selon elle.

A Bamako, la ministre française des Armées réaffirme le soutien aux forces maliennes

La ministre des Armées, Florence Parly, a réitéré lundi à Bamako le soutien de la France aux forces maliennes dans le combat contre les jihadistes, lors de sa première rencontre avec les autorités de transition.

Podcast

Olivier Kissita, acteur et réalisateur nous présente le film "...

Afrique : les routes sont elles sûres sur le continent africain ?

A lire aussi

Culture : “La rupture entre le Mali et la France est consommée”,...

Jeux Paralympiques de Paris : Nantenin Keita éliminée à l'épreuve...

Au Mali, une collision entre un car et un camion fait plusieurs morts

Appel à des sanctions contre l’Ukraine au Sahel : “Le conflit...

4 ans de pouvoir des militaires au Mali : “Le quotidien des Maliens...

En visite au Mali, le Premier ministre du Sénégal Ousmane Sonko...