La victoire de Hakimi ne tient pas du hasard : elle reflète une saison 2024‑2025 stratosphérique. Avec le PSG, il a enchaîné les trophées : Ligue 1, Coupe de France, Ligue des champions et Supercoupe d’Europe.
Sur le plan individuel, il a brillé par son apport offensif, délivrant 16 passes décisives et marquant 11 buts sur l’ensemble de l’exercice, des statistiques exceptionnelles pour un latéral.
This one’s frame-worthy, Achraf! 🤩🇲🇦#CAFAwards2025 pic.twitter.com/9aOWNhNY9h
— CAF_Online (@CAF_Online) November 19, 2025
Des rivaux de très haut niveau
Pour décrocher le sacre, Hakimi a devancé deux géants du football africain : Mohamed Salah, l’attaquant de Liverpool, et Victor Osimhen, buteur vedette de Galatasaray. Salah, avec 29 buts en Premier League et 18 passes décisives la saison passée, visait un nouveau titre CAF. Osimhen a terminé troisième malgré une année de haut niveau.
Un exploit qui pèse historiquement
En remportant cette récompense, Hakimi devient le premier Marocain sacré depuis Mustapha Hadji en 1998. Il est aussi le premier défenseur depuis Bwanga Tshimen (Zaïre) en 1973 à décrocher ce titre, soulignant à quel point son profil est unique.
La suite : enjeux et défis
L’émotion était palpable lors de son discours : “Ce trophée, ce n’est pas juste pour moi, mais pour tous les jeunes qui rêvent en Afrique” a-t-il déclaré.
Pour Hakimi, ce sacre arrive à un moment délicat : il récupère d’une entorse à la cheville, subie face au Bayern Munich, et son retour sur le terrain est scruté par le PSG comme par la sélection marocaine.
Sportivement, ce trophée renforce sa position de pilier : son leadership sur le terrain devrait peser toujours plus, quelle que soit l’évolution de sa blessure.
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