Initialement prévue à l’été 2025, la CAN a été décalée pour éviter un conflit avec la nouvelle formule de la Coupe du Monde des clubs. Ce repositionnement en décembre-janvier marque donc une édition hors norme, qui s’étend sur deux années civiles.
Des infrastructures à la hauteur
Six villes marocaines accueilleront l’événement, avec neuf stades mobilisés. Le Complexe Sportif Prince Moulay Abdellah, à Rabat, jouera un rôle central : il accueillera le match d’ouverture et la grande finale, le 18 janvier 2026.
24 équipes seront présentes, réparties en six groupes. Les deux premiers de chaque groupe, ainsi que les quatre meilleurs troisièmes, se qualifieront pour les huitièmes de finale. À partir de là, place à une phase à élimination directe jusqu’au sacre.
Favoris et enjeux sportifs
Parmi les nations à surveiller : la Côte d’Ivoire, tenante du titre, tentera de défendre son trône. Le Maroc, pays hôte, jouera sur son terrain avec le soutien de son public pour viser haut. Des équipes comme l’Égypte, le Sénégal, l’Algérie, ou encore le Nigeria sont naturellement dans le viseur : chacune possède un vivier de talents, et la compétition devrait être particulièrement relevée.
Portée au-delà du terrain
Cette CAN n’est pas seulement sportive : elle est aussi une vitrine diplomatique pour le Maroc, qui mise sur l’événement pour affirmer sa place en Afrique. Le foisonnement d’infrastructures et la qualité de l’organisation illustrent une ambition forte.
En 29 jours, les amateurs de football africain auront droit à 52 matchs intenses. Chaque rencontre pourrait révéler des pépites, sceller des destins et offrir des moments de frisson. Le coup d’envoi à Rabat, le 21 décembre, marque le début d’un mois de fête du ballon rond.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.