Gaël Faye, auteur et musicien, s’est imposé dans le paysage littéraire dès la parution de son premier roman, Petit Pays, en 2016. Ce succès, couronné notamment par le prix Goncourt des lycéens, avait séduit plus de 1,5 million de lecteurs et conduit à une adaptation cinématographique. Avec Jacaranda, publié le 14 août 2024 aux éditions Grasset, Gaël Faye renoue avec une écriture poétique et engagée. Porté par une démarche de mémoire, ce livre l’a hissé dans les sélections de nombreux prix prestigieux, y compris le Goncourt, avant de lui valoir le Renaudot, décerné au restaurant Drouant.
Un roman ancré dans l'histoire rwandaise
Jacaranda explore la quête de Milan, un jeune homme à la recherche des vérités familiales et historiques du Rwanda, trente ans après le génocide. Il rencontre Stella, dont le passé familial reste auréolé de mystère. Ensemble, ils traversent les silences et les blessures encore vives du pays, jusqu’aux rives apaisantes du lac Kivu. Ce récit de reconstruction et de transmission réunit les destins de plusieurs générations, toutes impactées par les horreurs du passé.
Le choix du titre : entre histoire et espoir
Le titre du roman, Jacaranda, fait référence à l’arbre du même nom, qui symbolise la mémoire et la résistance. Ce végétal majestueux, à la floraison bleutée, devient un refuge de souvenirs pour Milan et Stella, un lieu de réconciliation avec le passé. Cet arbre, enraciné dans la culture rwandaise, incarne l’espoir de renaître après la tragédie. Sur le synopsis on peut lire “comme un arbre se dresse entre ténèbres et lumière, Jacaranda célèbre l’humanité, paradoxale, aimante, vivante”.
Les autres finalistes du prix Renaudot 2024
Dans la sélection finale du prix Renaudot, Jacaranda était en compétition avec Les Sœurs et autres espèces du vivant d’Élisabeth Barillé (Arléa), La barque de Masao d’Antoine Choplin (Buchet Chastel), Houris de Kamel Daoud (Gallimard), et Les guerriers de l’hiver d’Olivier Norek (Michel Lafon). Parmi eux, Houris de Kamel Daoud a remporté le Prix Goncourt.
Le choix du titre : entre histoire et espoir
Le titre du roman, Jacaranda, fait référence à l’arbre du même nom, qui symbolise la mémoire et la résistance. Ce végétal majestueux, à la floraison bleutée, devient un refuge de souvenirs pour Milan et Stella, un lieu de réconciliation avec le passé. Cet arbre, enraciné dans la culture rwandaise, incarne l’espoir de renaître après la tragédie. Sur le synopsis on peut lire “comme un arbre se dresse entre ténèbres et lumière, Jacaranda célèbre l’humanité, paradoxale, aimante, vivante”.
Un succès retentissant
Le roman, qui s'est déjà écoulé à plus de 160 000 exemplaires, rencontre un accueil chaleureux en librairie. En tête des ventes depuis sa sortie, Jacaranda est promis à une carrière internationale avec des traductions en préparation. Fort de ce succès, Gaël Faye confirme son rôle d’écrivain incontournable de la scène francophone, apportant une profondeur littéraire aux sujets de mémoire et d’identité.
Les autres finalistes du prix Renaudot 2024
Dans la sélection finale du prix Renaudot, Jacaranda était en compétition avec Les Sœurs et autres espèces du vivant d’Élisabeth Barillé (Arléa), La barque de Masao d’Antoine Choplin (Buchet Chastel), Houris de Kamel Daoud (Gallimard), et Les guerriers de l’hiver d’Olivier Norek (Michel Lafon). Parmi eux, Houris de Kamel Daoud a remporté le Prix Goncourt.
Gaël Faye, auteur et musicien, s’est imposé dans le paysage littéraire dès la parution de son premier roman, Petit Pays, en 2016. Ce succès, couronné notamment par le prix Goncourt des lycéens, avait séduit plus de 1,5 million de lecteurs et conduit à une adaptation cinématographique. Avec Jacaranda, publié le 14 août 2024 aux éditions Grasset, Gaël Faye renoue avec une écriture poétique et engagée. Porté par une démarche de mémoire, ce livre l’a hissé dans les sélections de nombreux prix prestigieux, y compris le Goncourt, avant de lui valoir le Renaudot, décerné au restaurant Drouant.
Un roman ancré dans l'histoire rwandaise
Jacaranda explore la quête de Milan, un jeune homme à la recherche des vérités familiales et historiques du Rwanda, trente ans après le génocide. Il rencontre Stella, dont le passé familial reste auréolé de mystère. Ensemble, ils traversent les silences et les blessures encore vives du pays, jusqu’aux rives apaisantes du lac Kivu. Ce récit de reconstruction et de transmission réunit les destins de plusieurs générations, toutes impactées par les horreurs du passé.
Le choix du titre : entre histoire et espoir
Le titre du roman, Jacaranda, fait référence à l’arbre du même nom, qui symbolise la mémoire et la résistance. Ce végétal majestueux, à la floraison bleutée, devient un refuge de souvenirs pour Milan et Stella, un lieu de réconciliation avec le passé. Cet arbre, enraciné dans la culture rwandaise, incarne l’espoir de renaître après la tragédie. Sur le synopsis on peut lire “comme un arbre se dresse entre ténèbres et lumière, Jacaranda célèbre l’humanité, paradoxale, aimante, vivante”.
Les autres finalistes du prix Renaudot 2024
Dans la sélection finale du prix Renaudot, Jacaranda était en compétition avec Les Sœurs et autres espèces du vivant d’Élisabeth Barillé (Arléa), La barque de Masao d’Antoine Choplin (Buchet Chastel), Houris de Kamel Daoud (Gallimard), et Les guerriers de l’hiver d’Olivier Norek (Michel Lafon). Parmi eux, Houris de Kamel Daoud a remporté le Prix Goncourt.
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