Ecoutez Francis Perrin
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Ecoutez Francis Perrin
Le prix du pétrole est en baisse depuis plusieurs jours. Après les frappes israéliennes puis américaines sur les installations nucléaires de Téhéran et l'annonce par le président iranien de "la fin de la guerre de douze jours" imposée à son pays, les marchés semblent rassurés : le risque de fermeture du détroit d'Ormuz s'éloigne. L'Iran menaçait en effet de fermer ce passage maritime stratégique qui relie les pays pétroliers du Golfe au reste du monde, ce qui avait fait flamber le prix du pétrole.
- DANS LES MÉDIAS -
— IRIS (@InstitutIRIS) June 17, 2025
🛢️🇮🇷 Menace de fermeture du détroit d’Ormuz : un pur bluff iranien sur les marchés du pétrole ?
Le point de vue de Francis Perrin, directeur de recherche à l'IRIS, pour @atlantico_fr ⤵️https://t.co/voN0FOCvwP
L'Iran est le neuvième producteur au monde avec 3,3 millions de barils par jour
L'Iran dispose d'immenses ressources énergétiques. Le pays est doté des quatrièmes réserves mondiales prouvées de pétrole, ainsi que des premières réserves prouvées de gaz. Chaque jour, l'Iran produit ainsi 3,3 millions de barils de pétrole brut. Le pays exporte également, environ, un peu plus de 1 million et demi de barils par jour, selon l'Agence internationale de l'énergie. Francis Perrin est chercheur associé au Policy Center for the New South (PCNS ), basé à Rabat au Maroc, spécialiste des problématiques énergétiques. Selon lui, chaque conflit géopolitique au Moyen-Orient impacte le cours du pétrole.
A lire aussi : Conflit Israël-Iran : "Les Iraniens vivent dans une peur invraisemblable" selon la sociologue franco-iranienne Azadeh Kian
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