Horreur dans le "hangar n°3" du centre de migrants près de Tripoli
"Tout autour de moi, c'était un massacre".Sur son lit d'hôpital à Tripoli, Al-Mahdi dit avoir échappé "par miracle" à la mort, au lendemain de la frappe aérienne ayant touché de plein fouet un hangar où il était détenu avec 120 autres migrants.
3 juillet 2019 à 17h41 par AFP