La Tanzanie a rejeté vendredi 31 octobre toute accusation de répression sanglante après les élections présidentielle et législatives. Sur la chaîne Al-Jazeera, le ministre des Affaires étrangères Mahmoud Thabit Kombo a assuré qu’« il n’y a eu aucun usage excessif de la force » contre les manifestants opposés au pouvoir.
L’opposition parle de 700 morts
Le principal parti d’opposition évoque de son côté un bilan dramatique de 700 morts depuis mercredi, imputant ces violences aux forces de sécurité. Une information que le gouvernement dément catégoriquement, affirmant qu’il ne dispose « d’aucun chiffre lié à un mort dans le pays » et évoquant seulement « des poches de violence » isolées.
Une situation explosive après les élections
Ces déclarations interviennent alors que la tension reste vive dans plusieurs régions du pays. L’opposition dénonce des fraudes massives et la réélection contestée du président sortant. Sur les réseaux sociaux, des vidéos non authentifiées circulent montrant des scènes de répression, tandis que la communauté internationale appelle au calme et à la transparence.
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