Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousRetrouvez l'actualité sur hirak avec Africa Radio | Page 2
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLors de son investiture, le président algérien Abdelmadjid Tebboune s'était engagé à réviser la Constitution, retaillée sur mesure pour son prédécesseur Abdelaziz Bouteflika, mais il peine aujourd'hui à convaincre opposition et juristes.
L'ONG de défense des droits humains Amnesty International a appelé jeudi les autorités algériennes à libérer le journaliste indépendant Khaled Drareni, en détention préventive depuis la fin mars, et à mettre fin au "harcèlement ciblé des médias indépendants".
Karim Tabbou, figure emblématique du mouvement de contestation en Algérie, se retrouvera devant la justice le 1er juin, après le report de son procès prévu lundi, a indiqué à l'AFP un de ses avocats, Me Mustapha Bouchachi.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLa pandémie de Covid-19 n'empêche pas la justice algérienne de punir militants du "Hirak" et journalistes: une figure de la contestation a écopé lundi d'un an de prison ferme, et d'autres risquent de lourdes peines alors que le mouvement est en suspens.
Jamais un président algérien n'aura régné aussi longtemps.Mais Abdelaziz Bouteflika restera comme le seul dirigeant de l'Algérie indépendante qui, agrippé au pouvoir malgré la maladie, en aura été chassé par la rue, il y a un an.
Une année après sa chute aussi spectaculaire qu'inattendue, l'ancien président algérien Abdelaziz Bouteflika reste retranché, dans la solitude, dans sa résidence médicalisée de Zeralda, près d'Alger mais très loin du pouvoir auquel il s'est si longtemps accroché.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLa cour d'appel d'Alger a condamné deux ex-Premiers ministres de l'ère Bouteflika, Ahmed Ouyahia et Abdelmalek Sellal, respectivement à 15 et 12 ans de prison ferme, à l'issue d'un procès sans précédent pour corruption, a-t-on appris de source judiciaire.
Le nouveau coronavirus a réussi, du moins momentanément, là où le régime algérien avait échoué: mettre fin aux marches du "Hirak", le mouvement populaire inédit qui ébranle le pouvoir depuis plus d'un an.
Pour la première fois depuis le 22 février 2019, les rues d'Alger sont vides un vendredi.Le nouveau coronavirus a eu raison, au moins temporairement, des marches hebdomadaires du mouvement de contestation du pouvoir algérien.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousFace à la propagation de la pandémie de coronavirus en Algérie, les appels à suspendre les rassemblements hebdomadaires du "Hirak" se multiplient sur les réseaux sociaux, poussant les protestataires à envisager d'autres formes de contestation après un an de mobilisation ininterrompue.
Des milliers de personnes ont bravé la menace du coronavirus pour manifester dans les rues d'Alger contre le régime, pour le 56e vendredi consécutif du mouvement ("Hirak") de protestation populaire qui secoue l'Algérie depuis plus d'un an.
Karim Tabbou, une figure de proue du mouvement de contestation en Algérie, a été condamné mercredi à un an de prison dont six mois ferme, a indiqué à l'AFP Saïdi Salhi, vice-président de la Ligue algérienne des droits de l'Homme (LADDH).
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLes partisans du mouvement de contestation antirégime ("Hirak") sont descendus dans la rue vendredi à Alger pour la 55e semaine consécutive, moins nombreux que d'habitude mais défiant avec humour l'épidémie du nouveau coronavirus.
L'Algérie est secouée depuis février par une contestation inédite qui se traduit par des manifestations hebdomadaires dans le pays et a contraint le président Abdelaziz Bouteflika à démissionner.
Vous souhaitez consulter un article plus ancien ?
Consulter les archivesEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous