Ligue des champions. Retour sur la 3e journée : pluie de buts, bilan mitigé des équipes françaises et cartons des cadors

Sur la pelouse du Bayer Leverkusen, mardi 21 octobre, les joueurs du PSG ont écrasé leur adversaire (7–2) au terme d’une prestation offensive majuscule. Willian Pacho, Désiré Doué par deux fois, Khvicha Kvaratskhelia, Nuno Mendes, Ousmane Dembélé et Vitinha ont participé à la fête. En face, Aleix García a sauvé l’honneur des Allemands avec un doublé. Une démonstration collective et technique qui assoit un peu plus la domination des hommes de Luis Enrique.

L’Olympique de Marseille a connu une soirée plus frustrante. Malgré un but de Paixao, les Phocéens se sont inclinés 2–1 sur la pelouse du Sporting Portugal. En manque de réalisme, les hommes de Roberto De Zerbi ont payé cher leurs erreurs défensives. L’AS Monaco, de son côté, a concédé un nul logique (0–0) face à Tottenham au Stade Louis-II, dans une rencontre dominée par les Monégasques mais où les occasions franches se sont faites rares.

L’Europe en feu : buts, festival et confirmations

Cette troisième journée restera comme l’une des plus prolifiques de la saison. Le FC Barcelone a étrillé l’Olympiakos (6–1), porté par un triplé de Fermín López et un doublé de Marcus Rashford. Le PSV Eindhoven a également marqué les esprits en atomisant Naples (6–2).

En Angleterre, Chelsea a corrigé l’Ajax Amsterdam (5–1) grâce à un collectif parfaitement huilé, tandis que Liverpool a surclassé Francfort (5–1) dans un match à sens unique où Hugo Ekitiké, Virgil van Dijk et Dominik Szoboszlai ont brillé. Arsenal n’a pas fait dans la demi-mesure non plus, s’imposant 4–0 contre l’Atlético Madrid avec un doublé de Viktor Gyökeres. Enfin, le Bayern Munich a confirmé sa puissance en dominant le Club Bruges sur le même score (4–0).

Une journée excitante

Le PSG s’affirme comme l’une des formations les plus séduisantes d’Europe, tandis que Marseille et Monaco devront réagir pour espérer rallier les huitièmes de finale. Sur le plan continental, les grandes puissances européennes ont rappelé qu’elles restaient les locomotives d’une Ligue des champions plus spectaculaire que jamais.