En déplacement à Carentan, en Normandie, le Premier ministre Sébastien Lecornu a déclaré qu’il fallait “renégocier l’accord franco-algérien de 1968”, texte fondateur encadrant les conditions d’entrée, de séjour et de travail des Algériens en France.
Cette prise de position intervient après que l’Assemblée nationale a adopté jeudi une résolution du Rassemblement national (RN) demandant la dénonciation pure et simple de l’accord.
"Il faut le renégocier parce qu’il appartient à une autre époque", a déclaré le chef du gouvernement, tout en rappelant que “la politique étrangère de la France n’est pas faite par des résolutions au Parlement".
M. Lecornu a également précisé que “le président de la République est garant des traités, les négocie et les signe”, soulignant ainsi que la décision finale relèvera d’Emmanuel Macron.
Signé en 1968, l’accord franco-algérien organise un régime spécifique de circulation et de résidence pour les citoyens algériens en France — un sujet régulièrement au cœur des tensions diplomatiques et des débats sur l’immigration.
- accord 1968
- accord 1968 algerie
- accord 1968 france algérie
- accord algerie 1968
- accord de 1968
- accord franco-algérien
- accord franco-algérien 1968
- accord franco-algérien de 1968
- accords de 1968
- accords franco algérien 1968
- accords franco algériens
- Algérie
- Assemblée nationale
- Carentan
- Diplomatie
- Emmanuel Macron
- France
- guillaume bigot
- Immigration
- politique étrangère
- Rassemblement national
- RN
- Sébastien Lecornu
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.