Retrouvez l'actualité sur Politique avec Africa Radio | Page 2
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Contactez-nousArrêtée pour avoir publié un article satirique critiquant le président Mnangagwa, la journaliste zimbabwéenne Faith Zaba a été libérée sous caution ce vendredi 4 juillet. Sa détention a suscité une vague d'indignation parmi les défenseurs de la liberté de la presse. Son procès est prévu pour le 29 juillet.
Les 27 et 28 juin derniers, deux ministres et ex-alliés du président Paul Biya ont présenté leur démission pour se présenter à l'élection présidentielle d'octobre prochain. Peut-on parler de la fin d'une ère ? Christopher Fomunyoh, politologue et directeur du National Democratic for International Affairs analyse la situation sur Africa Radio.
Une journaliste zimbabwéenne, Faith Zaba, a été arrêtée pour avoir publié un article satirique critiquant le président Emmerson Mnangagwa. Cette arrestation suscite une vive condamnation des médias et des défenseurs des droits humains, qui dénoncent une nouvelle atteinte à la liberté de la presse. Le pouvoir est accusé d’utiliser la justice pour museler les voix critiques.
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Contactez-nousLe général Assimi Goïta, à la tête du Mali depuis le coup d’État de 2021, s’est vu accorder un mandat présidentiel de cinq ans, renouvelable, sans passer par les urnes. Le projet de loi a été adopté ce jeudi 3 juillet par le Conseil national de transition, l’organe législatif mis en place par la junte. Il ne reste plus que la promulgation par Goïta lui-même pour que ce texte entre en vigueur.
La Cour suprême du Sénégal a rejeté un recours du Premier ministre Ousmane Sonko, condamné en janvier 2024 à six mois de prison avec sursis pour diffamation. Cette décision, qui confirme une condamnation en appel en 2023, a empêché Sonko d’être candidat à la présidentielle de mars 2024, malgré ses annonces d’un nouveau recours.
Mardi 1er juillet, l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal a été condamné à cinq ans de prison ferme. Emprisonné depuis novembre dernier, il est accusé d'atteinte à la sûreté de l'État pour avoir défendu, dans une interview aux médias d'Extrême-Droite Frontières, que le Sahara occidental était marocain.
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Contactez-nousL’ancien président du Gabon Ali Bongo a été entendu à Paris comme victime après avoir porté plainte pour "séquestration arbitraire" à la suite du coup d’État militaire d’août 2023.
Après la mort de sept personnes à Lomé, des organisations civiles et politiques togolaises ont exigé lundi 30 juin une enquête internationale sur la répression policière lors des récentes manifestations.
Un responsable de la communication du parti de Laurent Gbagbo a été condamné à 18 mois de prison à Abidjan, accusé d’avoir diffusé de fausses informations.
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Contactez-nousAu moins sept personnes ont été tuées et des "dizaines" d'autres blessées lors de manifestations contre le pouvoir à Lomé fin juin, ont affirmé dimanche 29 juin des organisations de la société civile, dénonçant des "exactions commises par des éléments des forces de l'ordre et des miliciens".
Jeudi 26 juin, des Togolais ont manifesté contre les arrestations politiques, la vie chère et la réforme constitutionnelle. Cette première journée de mobilisation, à l’appel de la société civile et d’influenceurs de la diaspora togolaise, a été dispersée par les forces de l’ordre. D'autres manifestations sont prévues le 27 et le 28 juin.
L’ONU a exprimé jeudi 26 juin sa « profonde préoccupation » après la mort de plusieurs personnes et des centaines de blessés lors de manifestations au Kenya, un an après un mouvement citoyen brutalement réprimé. Alors que les rassemblements de mercredi avaient pour but de rendre hommage aux victimes de 2024, ils ont rapidement dégénéré en affrontements violents. L’ONU appelle à des enquêtes transparentes et à un usage proportionné de la force.
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Contactez-nousHuit personnes ont été tuées et plus de 400 blessées au Kenya lors de manifestations marquant l’anniversaire du soulèvement populaire contre la loi de finances de 2024. Les affrontements les plus violents ont eu lieu à Nairobi, où des milliers de jeunes ont défié un dispositif policier massif. Malgré les appels à la paix, les forces de l’ordre ont utilisé des gaz lacrymogènes, des grenades assourdissantes et, selon des ONG, des armes à feu.
Deux personnes ont été tuées par balles mercredi 25 juin lors de manifestations organisées au Kenya pour commémorer les protestations violemment réprimées de 2024. À Nairobi, Mombasa et dans plusieurs villes, des milliers de jeunes ont dénoncé la brutalité policière, la corruption et la précarité.
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