Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousRetrouvez l'actualité sur Soudan avec Africa Radio
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousL’Organisation mondiale de la santé (OMS) a exprimé, mardi 16 décembre, sa vive inquiétude après des informations faisant état de la détention forcée de plus de 70 professionnels de santé et d’environ 5.000 civils à Nyala, dans le sud-ouest du Soudan. L’agence onusienne appelle à leur libération immédiate, dans un contexte de conflit et d’insécurité persistants.
Au Soudan, un communiqué publié par le ministère des Affaires étrangères pro-armée a affirmé la volonté du dirigeant Abdel Fattah Al-Burhane de travailler avec l’administration américaine et Donald Trump. Cela intervient à un moment où les négociations pour un cessez-le-feu entre l'armée et les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) menées par Washington sont à l'arrêt, après que le chef de l’armée soudanaise ait qualifié la dernière proposition de trêve d’"inacceptable".
Une frappe de drone sur un hôpital militaire à Dilling, au Kordofan-Sud, a fait sept morts et douze blessés. La région est le théâtre d’une escalade meurtrière entre l’armée et les paramilitaires des FSR.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe Royaume-Uni a annoncé, vendredi 12 décembre, des sanctions visant quatre hauts responsables des Forces de soutien rapide (FSR), accusés d’avoir commis des atrocités au cœur de la guerre civile qui ravage le Soudan depuis 2023. Parmi eux figure Abdelrahim Hamdane Daglo, frère du chef des FSR, déjà visé par des sanctions de l’Union européenne.
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a affirmé que les deux belligérants seraient prochainement reçus à Genève, alors que la prise d’El-Facher par les FSR en octobre a été marquée par des exactions massives. L’ONU dit avoir obtenu une promesse d’accès à cette ville du Darfour, théâtre de massacres et de pillages.
Le Soudan du Sud a annoncé mercredi 11 décembre un accord tripartite avec l’armée soudanaise (SAF) et les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), chargeant les forces sud-soudanaises d’assurer la sécurité du champ pétrolier stratégique de Heglig, passé lundi sous contrôle des FSR. Située en zone frontalière, cette installation est essentielle à l’exportation du pétrole sud-soudanais, dans un contexte de combats intenses au Soudan.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousDes soldats soudanais ont franchi la frontière pour se rendre aux forces sud-soudanaises après avoir abandonné leurs positions sur le site pétrolier d’Heglig, tombé aux mains des paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR). L’annonce, faite mardi 09 décembre, par l’armée du Soudan du Sud, survient dans un contexte de dégradation rapide de la situation militaire dans le sud du Soudan.
Lundi 8 décembre, l’OMS a annoncé que les frappes de drones sur une école et un hôpital à Kalogi, au Soudan, avaient tué 114 personnes, dont 63 enfants, dimanche 7 décembre. Ces frappes sont attribuées aux paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR).
L’UA dénonce des attaques « horribles » menées à Kalogi, dans le sud du Soudan, où une école maternelle, un hôpital et des secouristes ont été visés. Le président de l’organisation panafricaine, Mahmoud Ali Youssouf, réclame un cessez-le-feu immédiat et un accès humanitaire sans entrave.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousDes frappes de drones attribuées aux Forces de soutien rapide ont frappé une école et un hôpital à Kalogi, au Soudan, faisant des dizaines de morts, dont de nombreux enfants, selon des responsables locaux.
Volker Türk, Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, a exhorté jeudi 4 décembre les belligérants soudanais à cesser les combats dans le Kordofan, affirmant redouter une nouvelle vague d’atrocités après les massacres d’El-Fasher. Les affrontements entre l'armée et les paramilitaires des FSR se poursuivent.
Alors que les médiateurs internationaux menés par Washington tentent d’imposer un cessez-le-feu, le chef de l’armée soudanaise Abdel Fattah al-Burhane appelle Donald Trump à s’impliquer davantage. Il refuse toutefois la dernière proposition de trêve, qu’il juge « inacceptable ».
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousL’émissaire américain pour l’Afrique, Massad Boulos, a exhorté les deux parties en conflit au Soudan à accepter, sans conditions préalables, la proposition internationale de cessez-le-feu portée par les États-Unis, les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite et l’Égypte. Alors que le chef de l’armée, Abdel Fattah al-Burhane, rejette cette initiative, son rival des Forces de soutien rapide, Mohamed Hamdane Daglo, a proclamé une trêve humanitaire unilatérale de trois mois. Washington insiste pour dépasser les accusations de partialité et placer en priorité la crise humanitaire qui plonge le pays dans ce que l’ONU qualifie de pire catastrophe mondiale.
Alors que l’armée soudanaise rejette une nouvelle proposition internationale de cessez-le-feu, les Forces de soutien rapide déclarent une trêve humanitaire.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous