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Contactez-nousLe pape Léon XIV a condamné les violences au Soudan et appelé à un cessez-le-feu immédiat, dénonçant les “souffrances inacceptables” d’une population épuisée par la guerre civile.
Les Forces de soutien rapide (FSR), engagées dans une guerre meurtrière contre l’armée soudanaise depuis avril 2023, affirment avoir arrêté plusieurs de leurs membres soupçonnés de violences contre des civils lors de la prise d’El-Facher, au Darfour. Cette annonce intervient alors que les organisations humanitaires alertent sur de graves abus.
Plus de 460 personnes ont été tuées dans la maternité saoudienne d’El-Facher, dernière structure hospitalière encore partiellement fonctionnelle dans cette ville clé du Darfour, selon l’Organisation mondiale de la santé. L’agence onusienne condamne des attaques « horribles » et appelle à un cessez-le-feu immédiat.
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Contactez-nousMohamed Hamdane Daglo, chef des Forces de soutien rapide (FSR), a reconnu, mercredi 29 octobre, une “catastrophe” dans la ville d’El-Facher, tombée dimanche entre les mains de ses troupes après dix-huit mois de siège. Tandis que la communauté internationale s’alarme de massacres à grande échelle, les FSR consolident leur emprise sur l’ensemble du Darfour, au prix d’un désastre humanitaire.
Après la prise de la ville stratégique d’El-Facher par les Forces de soutien rapide (FSR), l’Union européenne condamne mercredi 29 octobre une escalade de violences « d’une extrême gravité ». Bruxelles alerte sur des exactions à caractère ethnique et exige une « désescalade immédiate » dans un pays ravagé par la guerre civile depuis 2023.
Cinq volontaires du Croissant-Rouge ont été tués et trois portés disparus à Bara, dans le Kordofan-Nord, en pleine guerre entre l’armée soudanaise et les paramilitaires des FSR.
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Contactez-nousAprès la prise d’El-Facher par les Forces de soutien rapide (FSR), l’armée soudanaise a reconnu, lundi 27 octobre, son retrait tandis que l’ONU et l’Union africaine alertent sur des « atrocités », des « crimes de guerre présumés » et un risque de massacres à caractère ethnique au Darfour.
Assiégée depuis 18 mois par le groupe paramilitaire des Forces de soutien rapide, la ville d’El-Fasher, au Soudan, a été conquise par le groupe armé. Elle était la dernière ville du Darfour qui échappait à leur contrôle.
Les Forces de soutien rapide affirment avoir conquis le dernier grand bastion de l’armée au Darfour, marquant un tournant décisif dans la guerre qui ravage le Soudan depuis 18 mois.
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Contactez-nousLes États-Unis, l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et l’Égypte tenteront, vendredi 24 octobre, de relancer les efforts diplomatiques pour mettre fin aux combats au Soudan. Les quatre pays rencontreront séparément l’armée soudanaise et les Forces de soutien rapide (FSR) afin d’obtenir une trêve humanitaire nationale de trois mois, alors que le pays s’enfonce dans une crise catastrophique.
Des drones ont attaqué, jeudi 23 octobre, la capitale soudanaise Khartoum et son aéroport, contrôlés par l’armée, pour la troisième journée d’affilée, aggravant une situation déjà dramatique après deux ans de conflit. Les Forces de soutien rapide (FSR) sont pointées du doigt par les témoins et autorités locales.
Les Forces de soutien rapide (FSR) ont visé, mercredi 22 octobre, à l’aube l’aéroport de Khartoum lors d’une attaque de drones, selon une source militaire soudanaise. Il s’agit de la deuxième attaque en deux jours contre ce site stratégique contrôlé par l’armée, alors que sa réouverture était prévue pour les vols domestiques.
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Contactez-nousDes drones ont frappé, mardi 21 octobre au matin, la zone de l’aéroport international de Khartoum, selon des témoins interrogés par l’AFP. L’attaque intervient à moins de 24 heures de la réouverture prévue du site aux vols domestiques, après plus de deux ans de fermeture due au conflit entre l’armée et les paramilitaires.
Le jury d’un tribunal new-yorkais a reconnu vendredi 17 octobre, la banque française BNP Paribas coupable de complicité dans les violences commises au Soudan sous le régime d’Omar El-Béchir. Trois plaignants ont obtenu plus de 20 millions de dollars de dédommagements, une décision symbolique dans une affaire regroupant des milliers de réfugiés soudanais. La banque, qui conteste le verdict et dénonce un jugement « erroné », a vu son cours chuter de plus de 10 % ce lundi matin à la Bourse de Paris.
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