Retrouvez l'actualité sur pauvreté avec Africa Radio | Page 3
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Contactez-nousLe Conseil de sécurité de l'ONU a prolongé mardi d'un an l'embargo sur les armes et les sanctions individuelles imposées depuis 2018 au Soudan du Sud, déchiré par la violence et la misère.
Haïti, le Sahel et le Soudan font désormais partie des zones en alerte maximale, où le risque d'insécurité alimentaire pour ses populations est le plus préoccupant, et qui nécessitent une attention "urgente" de la communauté internationale, a mis en garde l'ONU lundi.
Rien à l'horizon, nuit noire.A bord du Titan, une unité de la police aux frontières (PAF) traque des kwassa kwassa, ces petites barques à moteur utilisées par les migrants illégaux venus des Comores pour rallier l'île française de Mayotte.
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Contactez-nous"Pour moi, on ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs", glisse sans sourciller El Hadj Youssouf, un Mahorais de 33 ans, assis à l'ombre d'un arbre sur une place de Mamoudzou, la principale ville de Mayotte.
Le balai de pelleteuses se poursuivait mardi à Mayotte pour démolir les cases en tôle de Talus 2, important bidonville de ce territoire français de l'océan Indien, une opération qui devrait durer jusqu'à la fin de la semaine.
Les pelleteuses sont entrées en action lundi à Mayotte pour démolir les cases en tôle de Talus 2, l'un des plus importants bidonvilles de ce territoire français de l'océan Indien, marquant le vrai départ de l'opération sécuritaire contestée "Wuambushu".
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Contactez-nousLes pelleteuses sont entrées en action lundi matin à Mayotte pour démolir les cases en tôle insalubres de Talus 2, l'un des plus importants bidonvilles de ce territoire français de l'océan Indien, département le plus pauvre de France, ont constaté des journalistes de l'AFP.
L'opération sécuritaire "Wuambushu" s'est poursuivie jeudi à Mayotte mais la confusion régnait sur la reprise des expulsions depuis l'île française vers les Comores, la compagnie maritime refusant d'assurer les traversées "jusqu'à nouvel ordre" malgré la réouverture des ports de l'archipel.
L'opération sécuritaire "Wuambushu" s'est poursuivie jeudi à Mayotte, soutenue par une manifestation locale mais contestée par les Comores, qui ont toutefois assoupli leur position en acceptant l'accostage de bateaux en provenance de l'île française.
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Contactez-nousLes autorités ont défendu jeudi le déploiement de force contre la délinquance, les bidonvilles et l'immigration illégale à Mayotte dans le cadre de l'opération "Wuambushu", contestée par les oppositions et défenseurs des droits humains à Paris mais soutenue par une manifestation dans cette île de l'océan Indien.
Les opérations de sécurisation continuent à Mayotte, où la police est intervenue pour mettre fin à des violences urbaines dans la nuit et où un "petit bidonville" doit être évacué jeudi, a indiqué le préfet de ce département français de l'océan Indien.
A l'entrée du bidonville de Majicavo, au nord de l'île de Mayotte, l'un de ceux que les autorités françaises veulent voir rapidement évacués puis démolis, un groupe se forme autour d'une affichette au drapeau tricolore, placardée à l'instant par des agents municipaux.
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Contactez-nousYaguina Nesly patiente devant une bicoque en tôle sommairement peinte en blanc et vert, l'une des nombreuses pharmacies sauvages de Bangui, la capitale de la Centrafrique, illégales mais pour l'heure tolérées.
La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) a décidé d'examiner la requête d'un demandeur d'asile irakien menacé d'expulsion du Royaume-Uni vers le Rwanda, dans le cadre d'un accord extrêmement controversé entre Londres et Kigali.
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