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Contactez-nousRetrouvez l'actualité sur soudan du sud avec Africa Radio | Page 2
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Contactez-nousLa Cour suprême américaine a validé jeudi 03 juillet l'expulsion de huit migrants irréguliers vers le Soudan du Sud, dix jours après avoir autorisé les expulsions de sans-papiers vers des pays tiers.
Le ministère américain de la Sécurité intérieure a confirmé, mercredi 21 mai, l’expulsion de huit immigrés condamnés pour des crimes violents vers le Soudan du Sud, un pays en guerre, tout en précisant qu’il ne s’agissait pas nécessairement de leur destination finale. Cette opération, ciblant des ressortissants birmans, cubains, mexicains, vietnamiens, laotiens et sud-soudanais, intervient en dépit d’une injonction provisoire d’un juge fédéral de Boston.
Le gouvernement du Soudan du Sud a démenti les rumeurs de la mort du président Salva Kiir, affirmant qu'il est en bonne santé et pleinement engagé. Ces rumeurs, amplifiées par les réseaux sociaux, surviennent dans un contexte politique extrêmement tendu.
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Contactez-nousLe Conseil de sécurité des Nations unies doit renouveler et faire respecter l'embargo sur les armes imposé au Soudan du Sud, a exhorté mercredi Amnesty International, qualifiant la présence de troupes ougandaises dans le pays de violation flagrante de cet accord.
La France a fermement condamné dimanche 5 mai 2025 le bombardement d’un hôpital de Médecins sans frontières (MSF) dans le nord du Soudan du Sud, qui a détruit la seule structure hospitalière de la région et fait des victimes, selon l’ONG.
À Juba, capitale du Soudan du Sud, un haut responsable de l'opposition sud-soudanaise a dénoncé dimanche 27 avril une "cartographie d'un génocide" contre la communauté nuer, après que le gouvernement de Salva Kiir a désigné "hostiles" plusieurs comtés majoritairement peuplés de Nuers. Dans un contexte de tensions ravivées depuis l'arrestation du vice-président Riek Machar, également nuer, l'opposition prévient qu'elle saisira la Cour pénale internationale en cas de crimes de masse.
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Contactez-nousLe président du Soudan du Sud Salva Kiir a limogé mercredi 9 avril son ministre des Affaires étrangères après une crise diplomatique avec les États-Unis liée au refus d’accueillir un Congolais expulsé.
Le Programme alimentaire mondial alerte sur la crise alimentaire au Soudan du Sud, où près de 7,7 millions de personnes souffrent de la faim, notamment dans le Haut-Nil, théâtre de violents affrontements entre forces loyalistes et milices armées.
Le Soudan du Sud a accepté mardi 8 avril d’accueillir un ressortissant congolais expulsé par les États-Unis, après un refus initial qui avait entraîné la suspension des visas sud-soudanais par Washington.
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Contactez-nousLes États-Unis ont révoqué tous les visas des ressortissants du Soudan du Sud, accusant le pays de ne pas reprendre ses citoyens expulsés. Cette décision, prise sous l'administration Trump, s'inscrit dans une politique stricte contre l'immigration et frappe l'un des pays les plus pauvres au monde, déjà dévasté par une guerre civile et au bord d'un nouveau conflit.
Le Soudan du Sud est au bord d’un nouveau conflit, marqué par l’arrestation de Riek Machar et une montée des violences. Les tensions politiques menacent de replonger le pays dans l’instabilité.
L’ancien Premier ministre kényan Raila Odinga est arrivé vendredi à Juba pour tenter une médiation dans la crise qui secoue le Soudan du Sud, après l’arrestation du vice-président Riek Machar par les forces loyales au président Salva Kiir. Cet événement a ravivé les craintes d’un retour à la guerre civile, malgré l’accord de paix de 2018.
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Contactez-nousLes forces du président du Sud-Soudan, Salva Kiir, ont arrêté mercredi son rival le premier vice-président Riek Machar, selon le parti de ce dernier. L'ONU s'alarme du risque de voir le pays "retomber dans un conflit généralisé".
Les tensions s’intensifient au Soudan du Sud entre les forces loyales au président Salva Kiir et celles du vice-président Riek Machar. Dans la soirée de lundi 24 mars, le parti d’opposition SPLM-IO a dénoncé des frappes sur une de ses bases près de Juba, une attaque qualifiée de "provocation" et de violation de l’accord de paix de 2018. L’ONU s’inquiète des bombardements contre les civils et Washington appelle à un dialogue direct entre les dirigeants pour éviter une nouvelle guerre civile.
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