Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousRetrouvez l'actualité sur Israël avec Africa Radio
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousL’arrivée à Johannesburg de 153 Palestiniens à bord d’un vol charter en provenance de Nairobi suscite de vives inquiétudes en Afrique du Sud. Le gouvernement, alerté par l’absence de tampons de sortie d’Israël sur leurs passeports, parle d’une opération orchestrée visant à expulser des Palestiniens de Gaza et de Cisjordanie. Bloqués plus de 12 heures à l’aéroport, les passagers ont finalement été autorisés à entrer sur le territoire avec le soutien d’une ONG locale, tandis que Pretoria promet d’éclaircir les circonstances de ce transfert mystérieux.
Le vice-président américain JD Vance est arrivé ce mardi 21 octobre en Israël alors que Washington redouble d’efforts pour préserver le cessez-le-feu en vigueur dans la bande de Gaza. Ce déplacement intervient dans un contexte de tensions persistantes après de nouvelles violences et alors que le retour des otages reste incomplet. Les États-Unis, soutenus par l’Égypte et la communauté internationale, cherchent à éviter l’effondrement d’un accord fragile jugé essentiel pour la stabilité régionale et l’acheminement de l’aide humanitaire.
Plusieurs dirigeants, dont Donald Trump et Emmanuel Macron se retrouvent à Charm el-Cheikh (Egypte) ce lundi 13 octobre pour un sommet consacré à la fin de la guerre à Gaza, sous l'égide du président américain Donald Trump et de son homologue égyptien Abdel Fattah al-Sissi.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousSept premiers otages israéliens ont été remis à la Croix-Rouge ce lundi, selon l’organisation internationale. Leur libération intervient alors que le Hamas a rendu publique la liste des 20 otages encore en vie dont la libération est attendue dans la journée, dans le cadre d’un accord d’échange avec des centaines de prisonniers palestiniens.
Un "Sommet de la paix" inédit pour Gaza se tiendra lundi à Charm el-Cheikh, sous la présidence de Donald Trump et Abdel Fattah al-Sissi, avec plus de vingt dirigeants mondiaux attendus.
Selon une source du Hamas, la première phase de l’accord pour mettre fin à la guerre à Gaza prévoit la libération de 20 otages en échange de près de 2.000 prisonniers palestiniens.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousDavid Rigoulet-Roze est chercheur à l’IFAS, l’Institut français d’analyse stratégique, spécialiste du Moyen-Orient, rédacteur en chef de la revue Orients Stratégiques. Il était l’invité d’Africa radio mardi 07 octobre 2025.
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a salué lundi 06 octobre le plan du président américain Donald Trump pour Gaza, alors que des représentants du Hamas et d'Israël doivent tenir des négociations indirectes en Egypte sur un échange d'otages et de prisonniers ainsi qu'un cessez-le-feu.
Israël et le Hamas entameront dimanche 5 octobre 2025 au Caire des pourparlers indirects sur un échange d’otages et de prisonniers, selon un média égyptien proche du pouvoir, dans le cadre du plan proposé par Donald Trump.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousL’émissaire de Donald Trump et son gendre Jared Kushner se rendent en Égypte pour conclure un accord sur la libération des otages à Gaza, après l’acceptation du plan américain par le Hamas.
Le Hamas se dit prêt à négocier la libération des otages israéliens et la fin de la guerre à Gaza, dans le cadre du plan de Donald Trump, qui presse Israël de stopper les bombardements.
Donald Trump a dévoilé lundi 29 septembre à la Maison-Blanche un plan de paix pour la bande de Gaza, exposant les grandes lignes d’un cesse-le-feu, d’un retrait progressif israélien et d’une gouvernance technocratique supervisée par une instance internationale dirigée par lui-même. Tandis qu’Israël donne son feu vert, Hamas reste silencieux pour l’instant.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLa reconnaissance de l’État de Palestine par la France, lundi 22 septembre, a provoqué une réaction unanime en Israël. Selon Emmanuel Navon, professeur de relations internationales à l’université de Tel Aviv, un consensus règne au sein de la classe politique et de la société israélienne pour condamner fermement cette décision.
Dans un rapport publié jeudi 18 septembre, l’ONG dénonce 15 entreprises internationales et israéliennes qui continuent de tirer profit du conflit. Amnesty International appelle les États et le secteur privé à faire tout ce qui est en leur pouvoir pour mettre fin à ces activités.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous