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Contactez-nousConsultez tous les articles publiés le lundi 24 novembre 2025 sur Africa Radio.
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La visite d’Emmanuel Macron au Gabon, achevée ce lundi 24 novembre à Libreville, a été marquée par une série d’événements symboliques mêlant culture, développement urbain et enjeux environnementaux. Aux côtés du président Brice Oligui Nguema, le chef de l’État français a inauguré les nouveaux locaux de l’Institut français, visité un vaste complexe administratif en construction et échangé sur la préservation de la forêt du Bassin du Congo, tout en annonçant la transformation de la base militaire française en centre régional de formation environnementale.
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Contactez-nousLes Emirats arabes unis, impliqués dans la médiation du conflit au Soudan mais accusés de soutenir les paramilitaires, ont vivement critiqué le général Abdel Fattah al-Burhane, chef de l’armée soudanaise, pour son rejet d’une récente proposition de trêve formulée par les États-Unis. Alors que la guerre opposant l’armée aux Forces de soutien rapide dure depuis avril 2023, les tentatives de cessez-le-feu échouent toutes, aggravant une crise humanitaire que l’ONU qualifie désormais de pire au monde.
Le procès du Tuniso-Suisse Mustapha Djemali, ex-cadre du HCR et fondateur du Conseil tunisien des réfugiés, a repris lundi 24 novembre, à Tunis. Avec quatre autres travailleurs humanitaires, il est accusé de faciliter l’entrée et l’hébergement de migrants. Les ONG dénoncent des poursuites « infondées » et un climat répressif contre l’aide aux demandeurs d’asile.
En pleine guerre civile, le chef de l’armée soudanaise Abdel Fattah al-Burhane a, dimanche 23 novembre, dénoncé la « partialité » du groupe de médiateurs internationaux, le « Quad », tant que les Émirats arabes unis en restent membres, accusés de soutenir les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR). Au moment où Washington et Riyad entament de nouvelles démarches pour une trêve, le général conteste la dernière proposition américaine et pointe une responsabilité directe des Émirats dans la crise, sur fond de contrôles territoriaux, massacres au Darfour, et escalade vers le Kordofan, région pétrolifère.
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Contactez-nousBanjul a confirmé dimanche a confirmé, dimanche 23 novembre, accueillir l’opposant camerounais Issa Tchiroma Bakary, qui revendique la victoire à la présidentielle du 12 octobre face au président Paul Biya. La Gambie affirme agir pour sa sécurité alors que les tensions post-électorales ont été marquées par une répression meurtrière au Cameroun.
Réunis ce lundi 24 novembre à Luanda (Angola), les dirigeants africains et européens veulent donner un nouveau souffle à leur partenariat économique et politique. Au programme : migrations, minerais stratégiques et développement industriel, mais aussi concertations sur le plan américain pour l’Ukraine. Alors que la Chine, la Russie et les pays du Golfe renforcent leur ancrage sur le continent, l’Union européenne tente de regagner crédibilité et influence en misant sur des engagements concrets et durables.
Avec la blessure de Gouiri et son opération à l’épaule (indisponibilité estimée à trois mois), Pierre-Emerick Aubameyang se retrouve propulsé en tête d’affiche de l’attaque marseillaise.
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Contactez-nousEn visite à Libreville, le président français Emmanuel Macron a encensé dimanche 23 novembre le « renouveau » ouvert par le putsch du 30 août 2023, désormais entériné par l’élection du général Brice Oligui Nguema. Le président français a assuré que Paris accompagnerait la « transformation » du pays, alors que Libreville insiste sur la diversification économique et un partenariat plus équilibré.
Anicet-Georges Dologuélé est fondateur et président de l’Union pour le renouveau centrafricain, parti d’opposition centrafricain, premier ministre de 1999 à 2001, candidat à l’élection présidentielle du 28 décembre prochain. Il était l’invité d’Africa Radio lundi 24 novembre 2025 à 07h45.
Depuis son retour en France après un an d’incarcération en Algérie, l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal s’est exprimé pour la première fois dimanche 23 novembre à la télévision. Gracié le 12 novembre par le président Abdelmadjid Tebboune, l’auteur estime que les relations entre Paris et Alger restent enfermées dans « les discours de la guerre de libération », tout en reconnaissant que sa parole demeure « contrôlée » en raison des tensions diplomatiques.
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