Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousRetrouvez l'actualité sur gaza avec Africa Radio
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousUn "Sommet de la paix" inédit pour Gaza se tiendra lundi à Charm el-Cheikh, sous la présidence de Donald Trump et Abdel Fattah al-Sissi, avec plus de vingt dirigeants mondiaux attendus.
Selon une source du Hamas, la première phase de l’accord pour mettre fin à la guerre à Gaza prévoit la libération de 20 otages en échange de près de 2.000 prisonniers palestiniens.
David Rigoulet-Roze est chercheur à l’IFAS, l’Institut français d’analyse stratégique, spécialiste du Moyen-Orient, rédacteur en chef de la revue Orients Stratégiques. Il était l’invité d’Africa radio mardi 07 octobre 2025.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousIsraël et le Hamas entameront dimanche 5 octobre 2025 au Caire des pourparlers indirects sur un échange d’otages et de prisonniers, selon un média égyptien proche du pouvoir, dans le cadre du plan proposé par Donald Trump.
L’émissaire de Donald Trump et son gendre Jared Kushner se rendent en Égypte pour conclure un accord sur la libération des otages à Gaza, après l’acceptation du plan américain par le Hamas.
Le Caire accueillera une conférence réunissant toutes les factions palestiniennes pour décider du futur de la bande de Gaza après le conflit. Le Hamas, acteur clé, confirme sa participation à ce dialogue crucial pour l’unité palestinienne.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe Hamas se dit prêt à négocier la libération des otages israéliens et la fin de la guerre à Gaza, dans le cadre du plan de Donald Trump, qui presse Israël de stopper les bombardements.
La reconnaissance de l'État de Palestine par la France, lundi 22 septembre, a suscité un écho positif à Gaza. Mais pour beaucoup, comme le journaliste Rami Abou Jamous, fondateur de GazaPress, cette avancée diplomatique reste largement symbolique tant que la guerre continue de ravager l’enclave.
Dans un rapport publié jeudi 18 septembre, l’ONG dénonce 15 entreprises internationales et israéliennes qui continuent de tirer profit du conflit. Amnesty International appelle les États et le secteur privé à faire tout ce qui est en leur pouvoir pour mettre fin à ces activités.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousDidier Billion est le directeur adjoint de l'IRIS, l'Institut de relations internationales et stratégiques, spécialiste du Proche-Orient. Il était l’invité d’Africa Radio mardi 23 septembre à 07h45.
La Tunisie a qualifié mercredi 10 septembre d’"agression préméditée" l’attaque visant un bateau de la flottille pour Gaza près de Tunis. Les organisateurs du convoi soupçonnent Israël, tandis que le départ des navires humanitaires est une nouvelle fois reporté.
La Global Sumud Flotilla affirme qu’un second de ses navires a été frappé dans la nuit de mardi à mercredi 9 septembre au large de Sidi Bou Saïd, en Tunisie, probablement par un drone, à la veille de son départ vers Gaza pour acheminer de l’aide humanitaire. Selon la flottille, l’incendie qui a touché le pont supérieur du bateau Alma a été rapidement maîtrisé et aucun passager n’a été blessé. Les organisateurs dénoncent des attaques répétées visant à entraver leur mission, tandis que la Garde nationale tunisienne dément toute frappe de drone.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousUn bateau de la flottille pour Gaza a affirmé avoir été visé par un drone au large de Tunis. Les autorités tunisiennes démentent et évoquent un simple incendie accidentel à bord.
À Tunis, plus de 1 000 personnes ont accueilli une flottille partie de Barcelone pour Gaza avec militants et aide humanitaire. Le départ prévu ce dimanche a été repoussé au mercredi 10 septembre.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous