Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousRetrouvez l'actualité politique sur Africa Radio | Page 2
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousAntonio Guterres se dit « très inquiet » face aux violences post-électorales en Tanzanie et réclame une enquête « minutieuse et impartiale » sur l’usage excessif de la force contre les manifestants.
Alors que l’opposition parle de 700 morts depuis les élections de mercredi, le ministre tanzanien des Affaires étrangères Mahmoud Thabit Kombo assure qu’il n’y a eu « aucun usage excessif de la force ».
Paris a co-présidé avec le Togo, mandaté par l’Union africaine, une conférence de soutien à la paix et à la prospérité dans la région des Grands Lacs. Une cinquantaine de ministres et chefs d’État ont fait le déplacement pour ce sommet humanitaire. Des initiatives budgétaires et logistiques ont été actées sans annonce de garantit sécuritaire pour les faire appliquer.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousWashington et Londres ont annoncé le départ de leur personnel diplomatique non essentiel et de leurs familles du Mali, invoquant une dégradation rapide de la situation sécuritaire. Bamako fait face à un blocus jihadiste qui perturbe gravement l’approvisionnement en carburant.
Le parti d’opposition Chadema estime, vendredi 31 octobre, à environ 700 le nombre de personnes tuées depuis mercredi dans le cadre des violences liées aux élections en Tanzanie. Les principaux foyers de violences sont Dar es-Salam et Mwanza, où les bilans s’alourdissent.
Réélu avec presque 90% des voix lors du scrutin du samedi 25 octobre, Alassane Ouattara, aussi surnommé ADO, a débuté sont quatrième mandat à la tête de la Côte d'Ivoire. La diaspora parisienne s'est mobilisée en faveur du président sortant.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLes Forces de soutien rapide (FSR), engagées dans une guerre meurtrière contre l’armée soudanaise depuis avril 2023, affirment avoir arrêté plusieurs de leurs membres soupçonnés de violences contre des civils lors de la prise d’El-Facher, au Darfour. Cette annonce intervient alors que les organisations humanitaires alertent sur de graves abus.
Après vingt ans de chantiers et plus d’un milliard de dollars d’investissement, le Grand musée égyptien (GEM) sera inauguré samedi 1er novembre au Caire, en présence d’une quarantaine de chefs d’État et de délégations étrangères. Consacré à 5.000 ans d’histoire pharaonique, l’établissement se veut un symbole du rayonnement culturel de l’Égypte et un levier majeur pour relancer un tourisme en pleine reprise.
L’administration Trump a fixé, jeudi 30 octobre, à 7 500 le nombre de réfugiés que les États-Unis accueilleront en 2026 — un plancher historique. La majorité de ces admissions concernera des Afrikaners, une décision qui alimente la controverse sur les critères raciaux et politiques de la politique migratoire américaine.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe, a exprimé, jeudi 30 octobre, des doutes sur la faisabilité de la réouverture prochaine de l’aéroport de Goma, annoncée par Emmanuel Macron. Kigali estime que cette décision relève avant tout des négociations en cours entre Kinshasa et le M23, qui contrôle la zone.
Violences, morts, blocage d’internet : la Tanzanie vit dans la peur après un scrutin marqué par des affrontements meurtriers et une répression sans précédent.
La Commission électorale indépendante (CEI) a précisé jeudi le mode opératoire des élections législatives ivoiriennes, prévues le 27 décembre 2025, promettant un scrutin « transparent et inclusif ».
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousUn tribunal sud-africain a conclu ce jeudi 30 octobre que la mort d’Albert Luthuli, ancien dirigeant de l’ANC et prix Nobel de la Paix, n’était pas un accident ferroviaire comme annoncé en 1967, mais le résultat d’une agression orchestrée par la police du régime d’apartheid. Ce jugement met fin à plus de cinquante ans de controverses et est salué comme une reconnaissance officielle des violences politiques commises durant l’apartheid.
Adoptée à une voix près, une proposition de résolution du Rassemblement national appelle à la dénonciation de l’accord franco-algérien de 1968, qui régit le statut des Algériens en France en matière de circulation, de séjour et d’emploi. Signé six ans après l’indépendance de l’Algérie, ce texte crée un régime dérogatoire au droit commun, facilitant leur installation et l’accès aux titres de séjour.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous