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Contactez-nousRetrouvez l'actualité sur RDCongo avec Africa Radio
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Contactez-nousPlus de 40 000 personnes ont franchi la frontière en une semaine pour fuir les combats entre le M23 et les FARDC. Conditions de vie précaires, camps saturés et fermeture des postes-frontières : le Burundi fait face à une crise humanitaire et sécuritaire d’ampleur inédite.
Le gouvernement rwandais a accusé, mercredi 10 décembre, la République démocratique du Congo (RDC) et le Burundi de compromettre les processus de paix en cours dans l’est du Congo, un jour après l’entrée des rebelles du M23, soutenus par Kigali, dans la ville stratégique d’Uvira. Cette nouvelle avancée du groupe armé intervient alors que la communauté internationale intensifie ses appels à un arrêt immédiat des hostilités.
Le groupe armé M23, soutenu par l’armée rwandaise, a pénétré mardi 09 décembre dans les faubourgs d’Uvira, ville stratégique du Sud-Kivu située à la frontière du Burundi. Cette avancée intervient quelques jours seulement après la signature à Washington d’un accord censé ramener la paix dans l’est de la RDC. La situation sur le terrain témoigne pourtant d’une reprise spectaculaire des combats, poussant des dizaines de milliers de civils à fuir.
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Contactez-nousDans un rapport à paraître, un groupe d’experts de l’ONU affirme que le M23 et l’armée rwandaise ont commis exécutions sommaires, destructions de villages et déplacements massifs dans l’Est de la RDC. Ces conclusions interviennent alors que Kinshasa et Kigali viennent de signer à Washington un accord censé ramener la paix.
La Mission de l’ONU en République démocratique du Congo alerte sur une série d’attaques meurtrières menées entre le 13 et le 19 novembre dans le territoire de Lubero, au Nord-Kivu, où les rebelles ADF, affiliés à l’État islamique, ont exécuté près de 90 civils.
Le gouvernement travailliste britannique a averti, lundi 17 novembre, l’Angola, la Namibie et la RDC qu’ils disposent d’un mois pour améliorer la réadmission de leurs ressortissants en situation irrégulière, faute de quoi des restrictions de visas seront imposées dans le cadre de la nouvelle réforme migratoire.
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Contactez-nousL’UE considère la nouvelle feuille de route paraphée, samedi 15 novembre, au Qatar comme une « avancée positive » vers une paix durable dans l’est de la RDC, théâtre d’un conflit persistant entre l’armée congolaise et le groupe armé M23.
L’ex-rebelle congolais Roger Lumbala comparaît, mercredi 12 novembre, devant la cour d’assises de Paris pour complicité de crimes contre l’humanité. Ce procès, le premier du genre pour des atrocités commises en République démocratique du Congo, marque une étape majeure dans la lutte contre l’impunité.
Le Programme alimentaire mondial (PAM) avertit, vendredi 07 novembre, que le nombre de personnes en situation d’urgence alimentaire a presque doublé en un an dans l’est de la République démocratique du Congo. Faute de financements suffisants, l’agence onusienne pourrait suspendre ses opérations humanitaires dès le début de 2026.
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Contactez-nousLe mouvement rebelle, qui administre désormais plusieurs territoires congolais, affirme vouloir « relancer la justice » dans les zones qu’il occupe. Une annonce qui inquiète Kinshasa et la communauté internationale.
Le président congolais Félix Tshisekedi dénonce les ambitions du Rwanda sur la région de l’Est de la RDC, riche en ressources naturelles, alors que les combats entre l’armée congolaise et le M23 se poursuivent malgré plusieurs accords de paix.
Le ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe, a exprimé, jeudi 30 octobre, des doutes sur la faisabilité de la réouverture prochaine de l’aéroport de Goma, annoncée par Emmanuel Macron. Kigali estime que cette décision relève avant tout des négociations en cours entre Kinshasa et le M23, qui contrôle la zone.
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Contactez-nousPascal Confavreux est porte-parole du ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères. Il était l’invité d’Africa Radio jeudi 30 octobre 2025 à 07h45.
Le ministre congolais de la Justice, Guillaume Ngefa, a ordonné, mardi 28 octobre, l’ouverture de poursuites judiciaires pour fraude et contrebande dans plusieurs périmètres miniers de la province du Lualaba. Des complicités au sein de l’armée, de la police et des services publics auraient facilité un vaste trafic de minerais.
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