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Contactez-nousLa junte de Guinée-Bissau a publié lundi 8 décembre une charte fixant une transition d’un an et interdisant au président Horta N'Tam et au Premier ministre de se présenter aux prochaines élections.
La commission électorale de Guinée-Bissau affirme être incapable de publier les résultats du double scrutin du 23 novembre, les procès-verbaux ayant été détruits lors du coup d’État militaire du 26 novembre.
Les autorités nigérianes ont annoncé lundi 1er décembre avoir accordé l’asile à l’opposant politique de Guinée-Bissau Fernando Dias. Adversaire lors de la présidentielle du dimanche 23 novembre du président sortant Umaro Sissoco Embalo, renversé trois jours après le scrutin par un coup d’État militaire, il avait déclaré jeudi 27 novembre avoir remporté l’élection.
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Contactez-nousUne délégation de la Cedeao a rencontré lundi à Bissau les militaires auteurs du coup d’État du 26 novembre, réaffirmant sa condamnation du putsch et appelant au rétablissement immédiat de l’ordre constitutionnel et du processus électoral. Au même moment, le Nigeria annonçait l’octroi de l’asile politique à l’opposant Fernando Dias, qui affirme avoir remporté la présidentielle interrompue et avoir échappé à une arrestation le jour du putsch, accentuant encore les tensions autour de la transition en Guinée-Bissau.
Le principal parti d’opposition, le PAIGC, dénonce l’envahissement de son siège par des miliciens armés. Quelques échauffourées mineures ont éclaté à Bissau, alors que la junte consolide son pouvoir.
Renversé par une junte mercredi 26 novembre, Umaro Sissoco Embalo a atterri samedi 29 npvembre à Brazzaville. Le président bissau-guinéen déchu y séjournera, alors que son pays est suspendu de la Cedeao et de l’Union africaine.
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Contactez-nousLe putsch du 27 novembre remet en lumière l’influence massive des réseaux de cocaïne en Guinée-Bissau. Entre corruption, barons locaux et ingérences étrangères, la drogue pèse plus que jamais sur la stabilité du pays.
La junte au pouvoir en Guinée-Bissau renforce son emprise après le coup d’État, tandis que l’Union africaine suspend le pays. Une crise politique explosive, sur fond de contestation du processus électoral.
Le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko a qualifié de "combine" le coup d'État militaire en Guinée-Bissau, intervenu juste avant l'annonce des résultats des élections présidentielles et législatives du 23 novembre. Le général Horta N'Tam a été nommé à la tête d'un Haut commandement militaire par les putschistes pour conduire une transition politique d'un an. Le président destitué Umaro Sissoco Embalo s'est réfugié au Sénégal. La CEDEAO, dont le Sénégal fait partie, a condamné ce coup d'État, soulignant la menace qu'il représente pour la stabilité régionale, et œuvre à une médiation pour restaurer l'ordre constitutionnel dans le pays.
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Contactez-nousAlors que la Guinée-Bissau devait connaître le nom de son futur président, ce jeudi 27 novembre, l’armée a annoncé, mercredi 26 novembre, prendre le contrôle du pays et interrompre le processus électoral. Les deux favoris, le président sortant Umaro Sissoco Embalo et Fernando Dias da Costa, qui avaient revendiqué leur victoire, ont été arrêtés par l’armée. C’est le cinquième coup d’État dans l’histoire du pays.
L’Union africaine a dénoncé sans ambiguïté le coup d’État survenu en Guinée-Bissau, à la suite de l’arrestation du président sortant Umaro Sissoco Embalo par des militaires ayant déclaré prendre le contrôle total du pays. Elle exige sa libération immédiate et inconditionnelle, tout en appelant les différentes parties à la retenue pour éviter une aggravation de la crise politique.
L’opposant Domingos Simoes Pereira a été arrêté mercredi par des hommes armés, alors que des militaires affirment avoir pris le pouvoir en Guinée-Bissau, en pleine crise post-électorale.
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Contactez-nousUmaro Sissoco Embaló a été arrêté mercredi 26 novembre à Bissau après l’annonce par l’armée de la prise de contrôle totale du pays et de la suspension du processus électoral, en pleine attente des résultats.
Alors que des militaires ont annoncé la suspension des élections et la prise du « contrôle total » de la Guinée-Bissau, le Portugal, ancienne puissance coloniale, exhorte les parties à rétablir l’ordre constitutionnel et à finaliser le dépouillement. Lisbonne appelle au calme et suit de près la situation, notamment celle de ses ressortissants présents à Bissau.
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