Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousRetrouvez l'actualité sur Est de la RDC avec Africa Radio
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe groupe armé M23, soutenu selon l’ONU et Washington par le Rwanda, affirme avoir entamé, mercredi 17 décembre, le retrait de ses combattants d’Uvira, ville stratégique de l’est de la République démocratique du Congo conquise début décembre. Le gouvernement congolais met en doute la réalité et la portée de ce retrait, sur fond de fortes tensions diplomatiques.
Le groupe armé M23, soutenu par l’armée rwandaise, a annoncé mardi 16 décembre, son intention de retirer ses combattants de la ville d’Uvira, dans l’est de la République démocratique du Congo. Cette décision intervient à la suite d’une demande de la médiation américaine, dans un contexte de fortes tensions régionales malgré un récent accord de paix signé à Washington.
À Paris, l’accusation a requis la réclusion criminelle à perpétuité contre Roger Lumbala, jugé pour complicité de crimes contre l’humanité commis en RDC en 2002-2003.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe gouvernement rwandais a accusé, mercredi 10 décembre, la République démocratique du Congo (RDC) et le Burundi de compromettre les processus de paix en cours dans l’est du Congo, un jour après l’entrée des rebelles du M23, soutenus par Kigali, dans la ville stratégique d’Uvira. Cette nouvelle avancée du groupe armé intervient alors que la communauté internationale intensifie ses appels à un arrêt immédiat des hostilités.
Le groupe armé M23, soutenu par l’armée rwandaise, a pénétré mardi 09 décembre dans les faubourgs d’Uvira, ville stratégique du Sud-Kivu située à la frontière du Burundi. Cette avancée intervient quelques jours seulement après la signature à Washington d’un accord censé ramener la paix dans l’est de la RDC. La situation sur le terrain témoigne pourtant d’une reprise spectaculaire des combats, poussant des dizaines de milliers de civils à fuir.
Dans un rapport à paraître, un groupe d’experts de l’ONU affirme que le M23 et l’armée rwandaise ont commis exécutions sommaires, destructions de villages et déplacements massifs dans l’Est de la RDC. Ces conclusions interviennent alors que Kinshasa et Kigali viennent de signer à Washington un accord censé ramener la paix.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLa Mission de l’ONU en République démocratique du Congo alerte sur une série d’attaques meurtrières menées entre le 13 et le 19 novembre dans le territoire de Lubero, au Nord-Kivu, où les rebelles ADF, affiliés à l’État islamique, ont exécuté près de 90 civils.
L’UE considère la nouvelle feuille de route paraphée, samedi 15 novembre, au Qatar comme une « avancée positive » vers une paix durable dans l’est de la RDC, théâtre d’un conflit persistant entre l’armée congolaise et le groupe armé M23.
L’ex-rebelle congolais Roger Lumbala comparaît, mercredi 12 novembre, devant la cour d’assises de Paris pour complicité de crimes contre l’humanité. Ce procès, le premier du genre pour des atrocités commises en République démocratique du Congo, marque une étape majeure dans la lutte contre l’impunité.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe Programme alimentaire mondial (PAM) avertit, vendredi 07 novembre, que le nombre de personnes en situation d’urgence alimentaire a presque doublé en un an dans l’est de la République démocratique du Congo. Faute de financements suffisants, l’agence onusienne pourrait suspendre ses opérations humanitaires dès le début de 2026.
Le mouvement rebelle, qui administre désormais plusieurs territoires congolais, affirme vouloir « relancer la justice » dans les zones qu’il occupe. Une annonce qui inquiète Kinshasa et la communauté internationale.
Le président congolais Félix Tshisekedi dénonce les ambitions du Rwanda sur la région de l’Est de la RDC, riche en ressources naturelles, alors que les combats entre l’armée congolaise et le M23 se poursuivent malgré plusieurs accords de paix.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe, a exprimé, jeudi 30 octobre, des doutes sur la faisabilité de la réouverture prochaine de l’aéroport de Goma, annoncée par Emmanuel Macron. Kigali estime que cette décision relève avant tout des négociations en cours entre Kinshasa et le M23, qui contrôle la zone.
Pascal Confavreux est porte-parole du ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères. Il était l’invité d’Africa Radio jeudi 30 octobre 2025 à 07h45.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous